Mois : mai 2015

Après avoir produit son ami Franck Khalfoun en 2012 pour l’excellent remake de MANIAC, le français Alexandre Aja s’associe une nouvelle fois avec un de ses fidèles collaborateurs, Grégory Levasseur, qui réalise ici son premier long-métrage avec PYRAMIDE.
Auparavant, Grégory Levasseur a toujours travaillé en étroite collaboration avec Alexandre Aja, en co-écrivant les scénarios de quasiment tous ses films, de HAUTE TENSION à PIRANHA 3D en passant par le remake de LA COLLINE A DES YEUX.

À quelques centaines de kilomètres du Caire, alors que la capitale égyptienne est en proie aux émeutes révolutionnaires du Printemps Arabe, un groupe d’archéologues américains travaillent sur la découverte dans le désert d’une Pyramide totalement inconnue, et qui a la particularité de n’avoir que trois faces.
Après avoir trouvé un chemin d’accès pour descendre dans les dédales de la Pyramide, les archéologues décident d’y envoyer un robot dernier cri, prêté par la NASA, en éclaireur. Mais ils perdent le contact vidéo avec le petit robot.
Ne pouvant se résoudre à abandonner à l’intérieur de la Pyramide ce robot qui vaut une fortune, un groupe de cinq archéologues, dont les responsables des fouilles, décident d’y pénétrer eux-mêmes.

COBAIN : MONTAGE OF HECK nous a littéralement bouleversés et chamboulés à la sortie de la projection. Voilà un documentaire sur un artiste, un musicien, un homme, comme on en a probablement jamais vu auparavant. Singulier dans sa forme comme dans son propos et aussi dans ce qu’il nous donne à voir, ce documentaire COBAIN : MONTAGE OF HECK nous plonge dans l’intimité du chanteur du groupe Nirvana à travers ses journaux intimes, ses dessins, des vidéos personnelles, ou encore des enregistrements audio totalement inédits.

Dépassant complètement le récit de l’ascension folle de Nirvana (car ce n’est pas du tout l’objet de ce film), COBAIN : MONTAGE OF HECK propose au spectateur de comprendre, tant que faire se peut, Kurt Cobain en tant que musicien, auteur & compositeur, mais aussi en tant qu’homme, en tant qu’individu lambda dont le parcours fut chaotique, compliqué, souvent solitaire.
Ou comment à une certaine époque, dans un coin paumé du fin fond du Nord Ouest des États-Unis, un adolescent à la dérive est devenu un adulte adulé par le monde entier, et comment au milieu de tout ça, il a tenté de trouver un sens aux choses autour de lui à travers ses multiples expressions artistiques.

En France, le mot « ouija » ne nous dit pas grand chose, et pour cause ; mais aux États-Unis il y a fort à parier que beaucoup de monde vous expliquera sans sourciller de quoi il s’agit. Un ouija, c’est une planche qui sert aux séances de spiritisme pour taper la discussion avec les esprits de l’Au-Delà. Sur cette planche figurent les lettres de l’alphabet, les chiffres de 1 à 0, et les mots « yes » et « no ».

Aux États-Unis, ouija est également un jeu commercialisé par la marque Hasbro, vendu comme un jeu de société. Vous aurez ainsi rapidement compris ce qui est au centre du film OUIJA.
Un groupe d’amis accuse le coup après le décès dans de terribles circonstances de leur copine Debbie. Laine, sa meilleure amie, propose au groupe d’organiser une séance de spiritisme un soir à l’aide d’une planche ouija, histoire de dire un dernier au revoir à Debbie. Mais cette soirée de spiritisme prend une tournure absolument inattendue, et ce n’est pas certain que ce soit vraiment l’esprit de Debbie qui se manifeste …