Mois : octobre 2013

Aujourd’hui les super-héros sont partout, et avant tout au cinéma où ils trustent très souvent le box-office (énormes succès pour les AVENGERS en 2012 et IRON MAN 3 en 2013). Personnages ringardisés à une époque et devenus désormais ultra populaires, ils nous passionnent et suscitent l’engouement du public, qui se traduit par une omniprésence sous toutes les formes possibles et imaginables : Comics Books, films, dessins animés, et surtout merchandising.

Qui se cachent réellement derrière ces masques & pourquoi les aime-t-on autant ?

Pour la deuxième fois en 2013, Marvel revient dans les salles obscures avec un de ses Avengers. Fils du roi Odin, le demi dieu Thor compte bien faire de nouveau parler son célèbre marteau.

Après un premier chapitre franchement décevant, THOR : LE MONDE DES TÉNÈBRES opte pour une narration beaucoup plus centrée sur le royaume d’Asgard. Thor (Chris Hemsworth) doit y affronter des elfes maléfiques dirigés par le terrible Malekith, assoiffé de vengeance. Sous le regard malicieux de Loki (Tom Hiddleston), meilleur ennemi et pire ami, Thor reste aussi aux prises de ses problèmes familiaux avec ce frère déchu du royaume.

Cette fin de mois d’octobre met doublement à l’honneur le célèbre auteur américain qu’on ne présente plus Stephen King, grâce à des évènements télé qu’on vous recommande de ne pas manquer !

Les projets autour des œuvres de Stephen King attisent toujours autant la curiosité, et celle-ci ne se semble jamais faiblir.
Fort d’un succès d’audience estival exceptionnel aux États-Unis, UNDER THE DOME arrive sur une chaîne de TV française. Adaptation d’un des romans de science-fiction de Stephen King, cette série de 13 épisodes se dévoile dans quelques jours sur notre petit écran. Et comme les choses sont bien faites, cela coïncide avec la diffusion d’un documentaire sur l’auteur américain, intitulé UNE NUIT AU CINÉMA : LES FILMS D’HORREUR SELON STEPHEN KING, sur la chaîne TCM Cinéma.

Premier film du réalisateur français David Perrault, NOS HÉROS SONT MORTS CE SOIR est une œuvre vraiment surprenante, déroutante, et tout à la fois extrêmement attirante.

Au début des années 60, Victor revient à Paris après avoir servi pendant la Guerre d’Algérie. Encore troublé et désorienté par cette expérience, il se tourne vers Simon, un ami, pour tenter de se réinsérer. Celui-ci lui propose de participer à des combats de catch parisiens, et l’initie à ce petit monde fermé, où les petits arrangements entre amis et l’argent des paris dictent les règles du jeu.
Simon porte le masque blanc, et sur le ring il est « Le Spectre ». Victor quant à lui se voit attribuer le masque noir et le surnom de « L’Équarrisseur de Belleville ». Mais Victor voudrait pour une fois dans sa vie être dans la lumière, être celui qui gagne, et celui qu’on applaudit. Alors les deux hommes font un pacte et échangent leur masque de catcheur.

Parfois le cinéma est un défi, et certains films naissent pour en repousser les limites ; alors quand la réussite est au bout, la satisfaction est immense. GRAVITY fait partie de ce genre de films.

GRAVITY part d’un postulat franchement peu évident : unité de lieu et de temps, deux comédiens isolés à l’écran, et l’infini de l’espace comme unique décor. Pourtant malgré cela, ce long-métrage nous offre un moment fort de cinéma, et rend ses lettres de noblesse au concept même de grand écran.
L’histoire est assez simple : le docteur Ryan Stone (Sandra Bullock) se retrouve pour la première fois dans l’espace pour une mission spatiale de routine. Accompagnée du chevronné Matt Kowalsky (George Clooney), elle gravite autour de la Terre dans la capsule où ils vivent le temps de la mission, … jusqu’à ce qu’un concours de circonstances transforme cette paisible mission en enfer. Privés de contact avec la Terre, éjectés de leur navette pulvérisée, et en proie au manque d’oxygène, ils doivent lutter pour leur survie et tenter de revenir sur Terre coûte que coûte.