Sur Go with the Blog, on vous propose de gagner des Hors-Séries Trois Couleurs collectors SUR LA ROUTE et des posters du film. [concours clos]
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Dans le cadre de la sortie en salles du film de Walter Salles SUR LA ROUTE, la rédaction du magazine Trois Couleurs publie un Hors-Série collector intitulé « Sur La Route d’après Jack Kerouac : un homme – un livre – un film – l’odyssée d’un mythe ».
Bien au-delà d’un magazine, il s’agit ici d’un livre de très grande qualité sur lequel les équipes de la rédaction de Trois Couleurs ont travaillé pendant près d’un an. Le résultat est là, et la richesse du contenu impressionne réellement ! On vous donne tous les détails sur cet ouvrage d’exception à vous procurer d’urgence, si vous voulez notre avis.
Roman culte de toute une génération et bien au-delà, « Sur La Route » écrit en 1951 par Jack Kerouac se traîne la réputation d’oeuvre littéraire inadaptable au cinéma. Francis Ford Coppola en acquiert les droits dés 1968, et il a donc fallu attendre quarante-quatre années pour trouver un réalisateur qui accepte de relever l’impossible défi.
Sal Paradise est un jeune écrivain en devenir qui vit à New York. Peu de temps après le décès de son père, il fait la connaissance de Dean Moriarty, un type de son âge qui a déjà connu la prison, et surtout qui lui apparaît comme épris de liberté et d’idéaux. Marié à la très jeune Marylou, Dean propose à Sal de venir avec lui et la jeune fille pour traverser les États-Unis en voiture. Sal considère qu’à cet instant commence sa vie SUR LA ROUTE.
Sixième film de Jacques Audiard et en compétition officielle à Cannes en 2012, DE ROUILLE ET D’OS est l’adaptation du recueil de nouvelles Rust and Bone de l’écrivain canadien Craig Davidson.
Le film relate la rencontre improbable entre un vagabond à la stature imposante, habitué aux petits boulots, et une jeune dresseuse d’orques au Marineland de Nice à qui il arrive un terrible drame : elle se voit amputer de ses deux jambes à la suite d’un accident pendant un spectacle de dressage des mammifères.
Le Musée des Lettres et Manuscrits de Paris consacre une Exposition exceptionnelle autour de Sur La Route, le célèbre roman de Jack Kerouac. À l’occasion de la sortie en salles de l’adaptation cinéma réalisée par Walter Salles, cette Exposition présente notamment aux visiteurs le rouleau de 36 mètres de long sur lequel l’écrivain a tapé en quelques semaines la première version de son œuvre devenue culte.
Une occasion tout à fait immanquable de découvrir ce manuscrit unique qui est exposé pour la première fois en France !
Wes Anderson fait partie de ceux que l’on appelle les réalisateurs indépendants. Autodidacte mais bien entouré – et avec les amis qui vont bien -, il nous livre film après film depuis maintenant plus de quinze ans des morceaux de son petit monde à lui, atypique, coloré, farfelu, mais toujours empreint de beaucoup de sensibilité.
MOONRISE KINGDOM, c’est l’histoire de Suzy et Sam, douze ans, qui tombent amoureux en secret, entretiennent une relation épistolaire d’enfants, puis décident de s’enfuir ensemble. Leur fugue commune découverte, les parents de Suzy et le chef du camp de scouts de Sam partent alors à leur recherche.
DARK SHADOWS est la quinzième réalisation de Tim Burton et la huitième collaboration entre le réalisateur et Johnny Depp. Il s’agit de l’adaptation au cinéma d’une série télévisée américaine de la fin des années 70.
En 1760 la famille Collins quitte Liverpool pour s’installer dans la région du Maine dans ce qui est en train de devenir les États-Unis. Leur fils Barnabas hérite de l’empire commercial fondé par ses parents. Mais sa servante Angélique Bouchard, amoureuse de lui et ne supportant pas de le voir repousser ses avances, lui jette un sort et le condamne à devenir un vampire. Elle provoque aussi le suicide de Josette, la fiancée de Barnabas. Deux siècles plus tard, en 1972, Barnabas Collins est réveillé et sorti de sa tombe par erreur par des ouvriers de chantier. Il se retrouve alors confronter aux seventies, à une ville qu’il ne reconnaît pas, et découvre ses héritiers.
Prenez cinq étudiants américains avec des physiques plutôt agréables, qui décident de partir s’éclater un week-end au bord d’un lac dans une forêt éloignée de tout, et de passer la nuit dans la maison en bois du cousin de l’un d’entre eux. Forcément à un moment, ça tourne mal.
Une fois que je vous ai dit cela, je ne vous ai encore rien dit du pitch complètement dingue de LA CABANE DANS LES BOIS. Et je n’en dirais vraiment pas davantage, car tout l’intérêt de ce film de genre repose sur un scénario dont on ne peut et ne doit absolument rien dire !
Johnathan Caouette décide d’emmener sa mère Renée qui souffre de lourds troubles mentaux, dans un hôpital psychiatrique plus proche de chez lui. WALK AWAY RENÉE est un road-trip atypique à travers les États-Unis, mais surtout l’occasion pour le réalisateur, par le biais d’images d’archives, d’évoquer l’amour d’un fils envers sa mère.
Dès son plus jeune âge, le cinéaste a filmé très régulièrement tous les instants de sa vie, et à partir d’un montage de ces moments passés et de séquences plus contemporaines, il nous entraîne dans l’intimité de son quotidien pas toujours évident.
Faire un film sur le milieu de la finance est tentant et terriblement d’actualité, pourtant il s’agit d’un défi très complexe, chose qui ne semble pas effrayer J.C. Chandor, auteur de sa première réalisation avec MARGIN CALL.
Le thème abordé est très peu traité dans les salles obscures et pour cause, il n’est que très peu cinématographique, très bavard, virtuel et technique. Par conséquent, il peut devenir rapidement ennuyeux. Néanmoins, ce huit clos – quasiment l’intégralité des scènes ont lieu dans le même building voire le même étage – ne perd pas le spectateur et parvient à nous immerger pleinement dans l’univers des traders.