Sur Go with the Blog on aime le cinéma, vous le savez, mais on aime aussi quitter les salles obscures pour découvrir des expositions, des artistes étonnants, et parfois avoir un coup de cœur artistique !
Nous avons été conviés à la soirée événement de la marque Waterman à l’occasion de la présentation de la nouvelle collection Blue Obsession. Et c’est à La Galerie La vitrine am que nous nous sommes rendus pour découvrir l’œuvre exceptionnelle de l’artiste Dirk Dzirmirsky, entièrement réalisée avec un stylo bleu Waterman. Et nous allons vous expliquer comment vous pouvez devenir l’heureux propriétaire de cette œuvre, en lui donnant son nom !
Mois : mai 2014
L’ÎLE DE GIOVANNI, c’est un minuscule bout de terre qui appartient au Japon, éloigné de tout, paisible et tranquille, où chacun vit en parfaite harmonie avec la nature. Malheureusement, en 1945 les choses basculent. Après la crainte des bombardements américains, cette île est finalement annexée par les troupes russes qui viennent coloniser ce territoire.
Plusieurs familles russes emménagent alors dans le village du jeune Jumpei, et notamment la famille de la jolie Tanya. Très vite, les deux enfants se lient d’amitié (ou peut-être un peu plus), et partagent la gaieté et l’innocence de leur jeune âge. Mais rien ne leur sera épargné, et la confrontation avec le monde des adultes, plus violent et impitoyable, les obligent à affronter des situations douloureuses et très compliquées.
Ce film d’animation poétique et réaliste à la fois, signé Mizuho Nishikubo, se base sur la véritable histoire de l’île japonaise de Shikotan, qui fut rattachée à l’Union Soviétique en 1945. La mise en animation de L’ÎLE DE GIOVANNI est réalisée par Nobutaka Ito, qui a notamment travaillé sur GHOST IN THE SHELL 2.
À l’occasion de la sortie en salles le mercredi 11 juin 2014 de PALO ALTO, le premier long-métrage de la réalisatrice Gia Coppola, Go with the Blog est heureux de vous faire gagner des places de cinéma pour le film ! [Concours clos]
MAPS TO THE STARS, c’est le nom de la petite carte où sont indiquées les différentes maisons de stars à Hollywood. Et sur cette carte, il doit certainement y avoir celle de Benjie, enfant star de treize ans, ainsi que celle de Havana Segrand, actrice de Sunset Boulevard vieillissante et pour qui les opportunités de tournage sont de plus en plus rares. À cela s’ajoute pour elle un complexe d’infériorité vis-à-vis de sa mère, ancienne gloire du cinéma elle aussi. Au milieu de tout ce petit monde, des assistants à tout faire et des chauffeurs de limousine, ou disons plutôt des comédiens qui se rêvent tout en haut de l’affiche, et qui faute de mieux conduisent les voitures sublimes des stars à travers les rues de Los Angeles.
David Cronenberg nous livre ici sa vision personnelle d’Hollywood sous la forme d’un brûlot sans concession, et nous montre les affres de la célébrité avec un œil acerbe. À Hollywood, tout le monde se connait mais ne s’apprécie pas forcément ; mais surtout, c’est là où le paraître et le regard des médias font et défont des carrières.
La saga X-MEN est une des plus passionnantes de l’univers Marvel car les personnages mutants y sont nombreux, complexes, et pour la plupart confrontés à une quête identitaire. Leurs interactions, leurs affrontements ou leur solidarité, offrent un vivier scénaristique particulièrement dense, sorte de microcosme de l’humanité elle-même.
X-MEN : DAYS OF FUTURE PAST est le deuxième volet de la trilogie prequel, mise en chantier avec la sortie de X-MEN : FIRST CLASS en 2011. Le réalisateur Bryan Singer reprend ici les commandes de SA franchise mutante, qu’il avait délaissée après 2003. C’est à lui que l’on doit le tout premier X-MEN au cinéma, ainsi que X-MEN 2.
Dans ce X-MEN : DAYS OF FUTURE PAST, les mutants ont fini par se résoudre à se serrer les coudes dans un futur post apocalyptique, où ils luttent pour leur propre survie face à des armées de sentinelles, programmées pour les exterminer jusqu’au dernier. Les X-Men prennent alors la décision d’envoyer Wolverine dans le passé pour tenter de bouleverser un évènement historique ultra important, et modifier peut-être ainsi ce futur sans horizon qui est promis aux mutants, mais aussi aux humains. Wolverine est-il une sorte de Marty McFly ? Oui, mais vraiment pas que !
Murielle Magellan nous écrit dans N’OUBLIE PAS LES OISEAUX l’histoire de … Murielle Magellan, autobiographie assumée et revendiquée.
Elle y parle de son homme, pardon, son homme slave, comme elle ne cesse de l’écrire à chaque page, tel un leitmotiv. Sans doute parce qu’il a été et est peut-être encore, le centre de toute son attention, sa passion amoureuse, celle de toute une vie. Dès 17 ans, elle rencontre cet homme plus mûr qu’elle, plus sûr de lui aussi, et terriblement charmeur. Il faudra quelques années, quelques départs et retrouvailles, pour qu’enfin leur idylle tant attendue par Murielle se concrétise, et aboutisse à une passion aussi belle que douloureuse. Et comme toutes les passions, elle se vit pleinement avec exigence, sacrifices et récompenses. Bref, comme un amour fort et intemporel, dont Murielle nous confie – comme dans un journal intime – ses instantanés de vie.
GRACE DE MONACO fait l’évènement à plus d’un titre : premier film consacré à la légendaire actrice puis princesse Grace Kelly, il est également choisi comme film d’ouverture du 67ème Festival de Cannes. Mais surtout, ce long-métrage français réalisé par Olivier Dahan, s’octroie les services de l’actrice américaine Nicole Kidman dans le rôle titre.
Pourtant, le projet arrive aussi précédé d’une mini polémique puisque la famille princière Monégasque a refusé de voir le film, et surtout ne le cautionne pas du tout. GRACE DE MONACO n’est pas exactement un biopic de toute la vie de la princesse Grace, mais se concentre sur une courte période au début des années 60, pendant laquelle la tension entre le Rocher et la France est à son maximum. Au milieu de ce conflit politique et à distance entre le Prince Rainier et le Général de Gaulle, Grace de Monaco tente de trouver sa place dans la cité Monégasque, au moment où les sirènes d’Hollywood résonnent à nouveau autour d’elle.
À l’occasion de la sortie en salles le dimanche 18 mai 2014 (Festival de Cannes oblige) du long-métrage THE HOMESMAN réalisé par Tommy Lee Jones, Go with the Blog est heureux de vous faire gagner des places de cinéma pour le film ! [concours clos]
À l’occasion de la sortie en salles le mercredi 14 mai 2014 du film évènement GRACE DE MONACO réalisé par Olivier Gahan, Go with the Blog est heureux de vous faire gagner des affiches officielles et collectors du film ! [concours clos]
GODZILLA est un mythe cinématographique qui a déjà connu pas moins de vingt-neuf adaptations sur grand écran ! Soixante années après le tout premier film mettant en scène le monstre, le réalisateur Gareth Edwards vient à son tour apporter sa pierre à l’édifice.
Une fois de plus, c’est au Japon que tout commence : alors que la vie au quotidien semble paisible, d’étranges secousses perturbent une centrale nucléaire. Malgré toutes les précautions prises, le drame redouté arrive. Une zone dévastée est alors condamnée à une quarantaine absolue, où la nature reprend ensuite peu à peu le dessus. Quinze ans après, sur ces mêmes lieux, les secousses réapparaissent et un grand danger semble se préparer à nouveau, un danger monstrueux, destructeur, et semble-t-il inévitable. Du Japon à Hawaï en passant par le Nevada et la Baie de San Francisco, tous les moyens sont mis en œuvre pour mettre fin à ce terrible fléau, qui détruit tout sur son passage.