Mois : janvier 2015

LOIN DES HOMMES est une adaptation librement inspirée de « L’Hôte » d’Albert Camus, par le réalisateur David Oelhoffen dont c’est ici le premier film.

Ce long-métrage est la rencontre entre Daru, un instituteur des montagnes algériennes, et Mohamed, un fuyard accusé de meurtre. Ces deux hommes qui n’ont pas grand chose en commun, vont se croiser à l’aube de la guerre d’Algérie. Tous deux pourchassés et exclus par les autres, ils s’unissent et partent dans un exode à travers les montagnes de l’Atlas. De cette marche où va se jouer leur destin, les deux hommes en font l’occasion de se rapprocher pour mieux se comprendre, chacun cherchant à se libérer de son propre passé.

Romain est un jeune homme tout à fait banal dans une famille qui va vivre pas mal de bouleversements. D’abord des bouleversements dans sa vie à lui, où il est toujours à la recherche de l’amour, Romain est aussi à la recherche d’une bonne idée pour écrire son premier roman. Quant à son père, il vit assez difficilement le début de sa retraite, ce qui se ressent sur sa vie de couple.

Sa grand-mère, elle, se retrouve contre son gré dans une maison de retraite … mais pas pour longtemps ! Rapidement, la grand-mère de Romain décide de fuguer ! Quelques jours après, Romain reçoit une carte postale de … sa grand-mère. À partir de là, il va tout faire pour la retrouver, et cette quête va aboutir à bien des surprises. 

SOUVENIRS DE MARNIE est le nouveau bijou du Studio Ghibli à qui l’on doit récemment (et parmi d’autres merveilles) le très beau LE CONTE DE LA PRINCESSE KAGUYA.
Cette nouvelle réalisation a la double particularité d’être dirigée par Hiromasa Yonebayashi mais sans la participation des deux créateurs du Studio que sont Hayao Miyazaki et Isao Takahata. Et la seconde singularité, c’est qu’il s’agit ici de l’adaptation d’une œuvre anglaise ! L’histoire vient en effet du roman britannique intitulé « When Marnie Was There » de Joan G. Robinson.

Anna, une jeune fille extrêmement timide, souffre également d’asthme à tel point que sa mère décide de l’envoyer se reposer en campagne, dans un petit village bordé par un lac, au nord d’Hokkaïdo. Là-bas, c’est une étrange sensation qui s’empare d’elle, et surtout une profonde curiosité pour la grande maison isolée que les villageois surnomment La Maison des Marais. Et puis Anna fait la rencontre de Marnie.

Le grand bal 2015 des récompenses cinéma est lancé !
Les 72ème Golden Globes ont dévoilé leur palmarès dans la nuit du dimanche 11 janvier au lundi 12 janvier 2015. Une soirée glamour, éclectique, et marquée aussi par des hommages et des messages de soutien à la France, suite aux attentats qui ont frappé le pays dans la semaine qui a précédé.
Nous vous livrons l’ensemble de la liste des lauréats des Golden Globes 2015 dans les catégories Cinéma, ainsi que les plus belles photos du tapis rouge !

SK1 pour Serial Killer numéro 1. C’est le nom de code que la Police Judiciaire française a donné dans les années 90 à celui qui était aussi surnommé par les medias « le tueur de l’est parisien ».
L’AFFAIRE SK1 revient en effet sur la traque d’un tueur en série qui sévit à Paris pendant huit années durant, s’en prenant à des jeunes femmes à qui il faisait subir les pires sévices. Lorsque le jeune inspecteur Franck Magne (interprété par Raphaël Personnaz) se retrouve en poste au 36 Quai des Orfèvres à Paris, il se voit confier comme première enquête le meurtre abominable d’une jeune fille. Il est alors le premier à suggérer un rapprochement avec des dossiers antérieurs similaires, et commence ainsi un travail de longue haleine qui le conduit à traquer ce tueur mystérieux pendant plusieurs années, un tueur qui échappe à la police à plusieurs reprises.

Au-delà du fait divers, ce long-métrage nous (re)plonge à la fois au cœur d’une époque tourmentée en France (les années 90, les attentats terroristes à Paris, l’intérêt des medias pour les affaires judiciaires, …), et au sein d’une division de la Police où les hommes sont mis à rudes épreuves.

New York 1981.
Abel Morales, immigré épris du rêve américain, est à la tête d’une société pétrolière en plein développement. Viscéralement attaché à l’idée de mener honnêtement son affaire, il se retrouve confronter au doute et à des problématiques complexes quand plusieurs de ses conducteurs de camions se font violemment braquer leur cargaison de pétrole sur la route. À cela s’ajoutent des menaces de plus en plus fortes sur lui et sa famille, pour tenter de le faire renoncer à son business.
Abel est alors acculé par la pression de son responsable des transports, celle de son épouse inquiète pour sa famille, et celle d’un milieu concurrentiel et sans scrupules.

Avec A MOST VIOLENT YEAR, le réalisateur J.C. Chandor livre une vision sans concession du capitalisme dans tout ce qu’il a de plus violent et de plus impitoyable, faisant ainsi directement le lien avec sa toute première réalisation MARGIN CALL.