CINQUANTE NUANCES DE GREY : pas de quoi fouetter une chatte …

50 NUANCES DE GREY - affiche France Universal Pictures - Go with the BlogQu’on le veuille ou non, voilà un des films évènements de 2015 ! Et l’on pèse nos mots en disant cela.
CINQUANTE NUANCES DE GREY arrive sur grand écran après que la trilogie romantico-érotique écrite par la britannique E.L. James se soit vendue à des millions d’exemplaires à travers le monde, faisant de CINQUANTE NUANCES DE GREY un véritable phénomène.

La jeune Anastasia Steele, 22 ans et étudiante en littérature anglaise à quelques kilomètres de la ville de Seattle, fait la connaissance de Christian Grey, une sorte de Golden Boy à la tête d’un petit empire financier. L’homme est beau, très séduisant, énigmatique aussi, et mène une vie assez secrète. Quand il n’est pas à son bureau en haut de sa tour, il passe beaucoup de temps à courir et à s’entretenir physiquement.

Anastasia tombe immédiatement sous le charme de Christian Grey, qui n’est lui-même pas insensible à la fraîcheur et la candeur de l’étudiante. Mais Anastasia ne sait encore rien de la vie privée de Christian Grey …

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La personne qui écrit cet article sur le film  (oui, moi) n’a pas lu le roman. C’est donc sans aucun a priori et sans attente particulière que je suis allée découvrir CINQUANTE NUANCES DE GREY, avec la curiosité tout de même d’en connaitre davantage sur ce phénomène. Car si je n’ai pas lu roman, je n’ignore évidemment pas non plus ce dont il s’agit, le sujet principal du roman, et tout ce qui s’est dit autour.

Le film CINQUANTE NUANCES DE GREY, d’un point de vue strictement cinématographique, ressemble à une sorte de DIRTY DANCING des années 2000 : on y retrouve les mêmes éléments scénaristiques parfaitement balisés, à savoir une jeune fille en fleur qui ne connaît rien à l’amour et qui débarque dans un univers à mille lieux du sien ; le télescopage de deux environnements très opposés (la vie d’une étudiante d’un côté, celle d’un homme d’affaires très riche de l’autre) ; un rite d’initiation à une pratique totalement inconnue par cette jeune fille (la danse sexy et sensuelle dans DIRTY DANCING, la pratique de jeux érotiques dans CINQUANTE NUANCES DE GREY) ; un homme plus âgé que la jeune fille et au sex appeal mis en avant ; un homme avec également  sa part d’ombre et son mystère.
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Cependant, avec CINQUANTE NUANCES DE GREY, un premier gros souci se pose, et ce dès la première partie du film : le personnage d’Anastasia a 22 ans, elle est vierge lorsqu’elle rencontre Christian Grey, et au-delà de ça, elle lui confesse même n’avoir jamais aucune pratique un tant soit peu sexuelle avec un homme. En résumé, elle n’a jamais vu le sexe d’un homme nu.
Derrière la posture virginale et ultra romantique du personnage, on ne peut éviter de laisser échapper quelques rires nerveux au début du film, en particulier lorsque le personnage de Christian Grey commence à dévoiler à la jeune Anastasia sa vision de la sexualité (l’homme d’affaires déclare : « Je ne fais jamais l’amour, je baise »).

Le personnage d’Anastasia semble tellement ignorante de tout à un degré qui dépasse l’entendement, que cela en devient franchement risible et ridicule ! Qu’elle n’ait jamais eu de relation sexuelle, soit, mais qu’elle ignore la signification même des mots « dominant », « soumission », « martinet », on croit rêver …
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En conséquence, on assiste tout de même à l’initiation sexuelle d’une jeune femme qui surjoue tout, y compris ses orgasmes ! Le personnage de Christian Grey l’effleure à peine, qu’elle se met à gémir et semble déclencher un demi orgasme à chaque caresse. Ce qui peut paraître anecdotique, devient un vrai problème dans le film : les scènes érotiques n’offrent ainsi jamais la tension et la sensualité attendues, car le décalage entre les deux personnages est bien trop flagrant, incohérent et irréaliste.

Puisque l’on en parle, les scènes de sexe (que tout le monde attend, on ne va pas se mentir) représentent seulement une vingtaine de minutes de la totalité du long-métrage. Sur les deux heures que durent CINQUANTE NUANCES DE GREY (avec d’ailleurs des soucis de rythme par moments et quelques longueurs inutiles), autant dire que les personnages passent plus de temps à parler de sexualité qu’à réellement mettre en pratique les fantasmes du personnage de Christian Grey.

Et c’est là finalement la clé même du long-métrage : CINQUANTE NUANCES DE GREY est avant tout le récit d’une romance, une banale romance entre un homme mûr aux mœurs intimes certes un peu singulières, et une jeune fille qui ne connaît à peu près rien à la vie et qui se mue peu à peu en femme à la sensualité assumée. Et cela ne vous rappelle rien ? … DIRTY DANCING, merci à ceux qui suivent !  😉
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Il nous faut dire tout de même un mot sur le casting, qui fut particulièrement laborieux en amont du tournage du film puisque plusieurs acteurs qui avaient été officiellement annoncés, se sont désistés du projet au dernier moment. Le rôle de l’énigmatique Christian Grey est ainsi revenu à Jamie Dorman, britannique d’une trentaine d’années connu essentiellement pour son rôle dans la série THE FALL. Le garçon s’en sort convenablement, incarnant sans fausse note cet homme fortuné aux costumes taillés sur mesure.

En revanche, on regrette franchement son absence d’expression pendant les scènes de sexe : en effet, son personnage est censé ne trouver du plaisir que dans des rapports de soumission avec sa partenaire, mais à l’écran on ne ressent à aucun moment sa jouissance et l’extase que cela lui procure. C’est à la fois problématique d’un point de vue de la tension que devrait apporter ces séquences (et donc qui n’existe jamais), et c’est aussi gênant d’un point de vue scénaristique, puisqu’on a un peu de mal à cerner son plaisir au fur et à mesure que le film progresse.

À ses côtés, Dakota Johnson (pour l’info people, elle est la fille de Melanie Griffith et Don Johnson) pâtit d’une laborieuse direction d’acteurs de la part de la réalisatrice, Sam Taylor-Johnson : comme on le disait plus haut, son personnage se met à gémir dès que son partenaire la touche, ce qui pose une nouvelle fois problème pour pouvoir offrir toute la sensualité et la tension que certaines scènes sont censées contenir. Par ailleurs, la trop grande naïveté de son personnage ne favorise pas franchement l’identification avec elle (et c’est tout de même l’objectif premier de cette histoire).
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En soi, CINQUANTE NUANCES DE GREY n’est pas un mauvais film. Tout dépend finalement de ce que l’on vient y chercher. En revanche, il n’est À AUCUN MOMENT l’objet de scandale et de transgression que l’on a voulu nous vendre.

Romance très caricaturale que l’on a déjà vue cent fois au cinéma, CINQUANTE NUANCES DE GREY raconte cette éternelle histoire de la jeune fille en fleur qui devient femme en découvrant l’amour (et/ou le sexe) aux côtés d’un prince charmant qui a aussi ses défauts et sa part d’ombre.
Au milieu de tout ça, on tente de pimenter ce récit somme tout banal par l’apport de pratiques sexuelles qui se veulent borderline : mais enfin bon, bander les yeux de sa partenaire, lui attacher les mains au lit ou encore lui frapper les fesses pendant l’acte, ne constituent pas non plus le summum d’une sexualité perverse. On est très très loin des vraies pratiques sado-masochistes et du bondage.

Au final, on sait d’ores et déjà que le film CINQUANTE NUANCES DE GREY fonce tout droit vers un gros succès box-office, dans la droite continuité des romans. Mais à l’image du personnage de Christian Grey qui passe son temps à répéter qu’il n’est pas un romantique, on a beau chasser le romantisme il finit toujours par revenir au galop, au grand dam de ceux et celles qui espèrent trouver ici autre chose qu’une romance. Raté.  😉

Bonus :
Le film CINQUANTE NUANCES DE GREY se déroule dans la ville de Seattle.
Retrouvez nos articles Voyages sur Seattle 1 et Seattle 2.

CINQUANTE NUANCES DE GREY, sortie en France le 11 février 2015.

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Article rédigé par Elle.

42 réponses sur « CINQUANTE NUANCES DE GREY : pas de quoi fouetter une chatte … »

Bonjour JolieTesteuse,

L’engouement vient surtout du succès colossal du roman, vendu à des millions d’exemplaires. Après, la trilogie littéraire méritait-elle qu’on s’y intéresse tant ? Mystère … 🙂

Voilà tout est dans la première bande annonce. Plutôt cul cul que cul donc 🙂
Allez je vais revoir les scènes « hot » de Basic instinct pour un peu de franchise dans le mainstream hollywoodien.

Salut widescreen,

On pourrait effectivement citer un paquet de films bien + sexuels et sensuels que celui-ci. Perso, sur le même sujet (des pratiques sexuelles un peu violentes), je recommanderais aussi de (re)voir le SHAME de Steve McQueen par exemple. Bien + intéressant sur le sujet de la sexualité poussée dans ses retranchements.

C’est marrant ta description d’Ana parce que sans avoir lu le livre, tu en fais un résumé parfait. L’actrice incarne vraiment très bien cette tête à claque, nunuche, qui ne comprend pas grand chose à la vie. Je te jure, elle est a baffé dans le bouquin. C’est le personnage du livre, pas une mauvaise direction d’acteur ou prestation.
Et pour les scènes de cul, à vrai dire, elles sont tellement trop nombreuses dans le roman que ça fait du bien d’aller à l’essentiel ^^

Hello Céline,

Merci beaucoup d’apporter ton avis sur le personnage, ça m’intéresse énormément vu que je n’ai pas lu le livre.
C’est cool de savoir ce que tu en penses & d’avoir ton ressenti 🙂

Du coup si je comprends bien, je ne me serais pas + identifier à ce personnage dans le bouquin que dans le film en fait 😉

Quant aux scènes de jeux érotiques, à vrai dire ce n’est même pas tant le nombre dans le film, qui pose un peu souci : c’est surtout qu’on ne ressent pas vraiment ni la tension entre les personnages, ni l’excitation du perso de C.Grey (mince, normalement il est censé ne trouver son plaisir & sa jouissance que dans ces jeux sexuels, or là, le comédien n’exprime pas grand chose) … Et du côté du perso d’Anastasia, le fait qu’elle démarre au quart de tour fout littéralement en l’air la progression de la tension érotique de ces séquences.

Merci encore de ton commentaire et de tes infos complémentaires ! 🙂

Je suis bien d’accord, j’ai eu une grosse déception sur l’alchimie du couple. Individuellement ok, mais ensemble… Bof, bof.
Dans le bouquin Christian est effectivement un glaçon et elle une torche… lol, la réalisatrice avait du pain sur la planche avec des persos pareil ^^

Sur le même sujet (sexe SM et tension incroyable entre les deux protagonistes), le film à voir (loin de Basic instinct qui était lui même très inspiré de Sea of Love avec Pacino) c’est « La Secretaire » avec James Spader et Maggie Gyllenhaal.

J’ai une liste d’à priori longue comme le bras sur le film ainsi que sur les bouquins que je ne pourrais, certainement, jamais lire. Je verrai peut-être le(s) film(s) si l’occasion se présente et par simple curiosité mais une chose est sûre, j’aime la façon dont tu en parles. Je suis contente de voir une critique honnête et plus ou moins désintéressée, ça change de toutes ces filles que je connais qui n’en peuvent plus rien qu’en prononçant le nom de Christian Grey, c’est usant 🙂

Bonjour Scarlet Tulip,

D’abord merci pour ton commentaire et ta réaction 🙂
Au final, je suis plutôt contente d’avoir vu le film, ça me permet de savoir au moins de quoi parle tout le monde, et de m’être fait mon propre avis.
En soi, je n’ai pas passé un mauvais moment au cinéma devant ce film, ça se regarde sans souci. Après, comme tu le dis exactement toi même, il faut peut-être simplement être mesuré(e), reconnaître que le film & cette histoire ont vraiment des défauts, que tout n’est pas parfait, et qu’il y a qqs détails qui coincent un peu.
Voilà 😉 Merci encore de ton commentaire !

En fait, c’est ton article que j’aurai voulu écrire à la place du mien hihiiii
J’ai lu le livre, las, parfois émoustillée il faut l’avouer mais le film m’a UN PEU déçu. C’est à dire qu’on ressent la tension sexuelle (même si comme tu le dis justement, vierge à 22 ans, complètement naïve… c’est un peu gros selon moi !). J’ai été déçu par rapport à l’intensité dans le livre (mais là chacun voit midi à sa porte, puisque c’est surtout notre imagination qui nous fait vibrer!), sans pour autant trouver le film nul…
Juste les premiers instants où très sincèrement, je me suis demandée ce que je faisais là ! Quand elle tombe à quatre pattes dans le bureau de Grey, quand il lui dit « ceci est un martinet »…
Mais on ne s’attendait de toute façon ni à voir un Marc Dorcel, ni le chef d’oeuvre de l’année donc bon… 🙂

Salut Charlie,

Merci pour ton avis de lectrice, c’est cool, et ça apporte des éléments complémentaires à mon article puisque je n’ai pas lu les romans 🙂
Je te rejoins totalement sur le début du film très poussif ! Exactement comme toi, j’ai trouvé l’arrivée d’Anastasia dans le bureau de C.Grey, la séquence de l’interview absolument ratés … Le film met vraiment du temps à démarrer, et on va dire que jusqu’à leur premier rapport sexuel, c’est plutôt laborieux (je ne parle même pas de la séquence dans le magasin de bricolage avec des sous-entendus grossiers, niveau cour de collège …)
Une fois que leurs jeux érotiques se mettent en place et que les 2 personnages se jaugent à distance, notamment autour de l’historie du contrat, le film gagne un peu en « sérieux » et en dramaturgie.

Merci beaucoup de ton commentaire ! 🙂

Ah je l’attendais avec impatience cette critique! Encore plus que le film je crois 🙂
12€ pour 20 minutes de sexe? C’est un peu plus cher que ce qu’on a sur le marché il me semble…

Merci beaucoup pour ton article
Il est vrai que le film a déçu beaucoup de personne, notamment les lectrices. Personnellement, j’ai adoré les livres et surtout les deux derniers, quand Anastasia commence a s’affirmer un peu. Tout n’est peut être pas perdu pour le deuxième film espérons !

Bonjour Lefevre,

Merci à toi pour ton commentaire.
Je ne sais pas si tu es allée voir le film, mais en tout cas c’est certain, il y aura la suite adaptée également au cinéma.

On verra effectivement comment évoluera le personnage d’Anastasia. Perso, si je vois les prochains films de CINQUANTE NUANCES DE GREY, j’aimerais aussi que son personnage s’affirme comme tu le dis, qu’elle soit clairement moins naïve, voire qu’elle prenne un peu les choses en main (dans tous les sens de l’expression …), qu’elle s’impose face au perso de C.Grey.

À bientôt sur Go with the Blog ! 😉

Bonjour et merci pour l’article!

Je n’ai pas vu le film et je n’aurai pas le temps d’aller le voir.
Le livre… je l’ai commencé. 15-20 pages, et je suis passée à autre chose. Trop mal écrit. Trop débiles de manque de réalisme. Personnages insipides… bref.
Je l’ai repris plus tard car j’en ai entendu encore et encore parler. J’ai lu encore une vingtaine de pages, puis j’ai ouvert au hasard et j’ai été lire la fin pour voir comment ça finissait. J’ai du mal à croire ou à comprendre le succès de ce livre. Enfin, humainement parlant. :-/ Parce que même si on en rêve, ça dépasse tellement l’improbable! Ce prince charmant hyper érotique pour la greluche de Mlle Steel, riche à souhait, beau et fleurant bon, attentif (!), pas radin pour un sous, enfin… inexistant, et elle la petite gourde bien foutue qui se tord la bouche comme une gamine et « découvre » la sexualité alors que son ciboulot ne dépasse pas les 12 ans… Bref. le tout emballé dans une littérature pire!!!! que la collection Ar..quin !!! Car au moins chez Arl..quin, elles sont infirmières…
Non, je ne comprends pas.
Mais bon.
J’ai juste donné mon avis sur le livre 🙂 et visiblement, beaucoup ne pensent pas comme moi.
Bonne journée à tous

Coucou Sof,

Merci d’apporter ton avis sur les romans, comme je ne les ai pas lus, c’est intéressant d’avoir des avis ! 😉
Je vois que tu es ‘sans pitié’ à l’égard de cette pauvre Anastasia !! 😀

À bientôt sur Go with the Blog 🙂

Coucou ! Je découvre ton blog avec cet article magistral sur 50 nuances de Grey, et bien que (je l’avoue) plutôt adepte de la suite de livres et ayant programmé d’aller voir le film de façon imminente, j’ai trouvé ton article remarquablement bien écrit et tourné, mettant en avant un contenu et une analyse riches et bien pensés.
Chapeau ! 🙂

Bonjour,

Ohla, merci infiniment pour les compliments, je suis touchée, merci beaucoup !!
N’hésites pas à revenir ici donner ton avis sur le film quand tu l’auras vu, ça m’intéresse.
À bientôt !

Bonjour,
J ai adorée ton article. Oui quel engouement pour le film , déjà j ‘ai du mal à finir le trois tome trop long beaucoup trop lonnnnnnnnng. Comme disent les filles il y a d’autres films beaucoup plus sexe. :).
Il y a d’autres livres beaucoup plus intéressant !!!!!!!

Autant ce qui me plaisait dans Dirty Dancing était la BO, mais là même pas. Ce film est une gigantesque arnaque ou Twilight pour les adultes au choix.
Les dialogues sont creux, plats, les acteurs idem, mais dans le bouquin j’étais morte de rire. Là les dialogues sont quasi identiques au bouquin, mais c’est affligeant de platitude…
A noter que le spectacle était davantage dans la salle que sur écran, vu les gloussements des nanas à la vus des pectoraux de Jamie Donam. !!

Coucou Eleane,

C’est vrai que je n’ai pas évoqué la musique dans CINQUANTE NUANCES DE GREY (j’avais envie d’en parler, mais mon article était déjà bcp trop long … :p), mais j’ai été plutôt déçue aussi : non pas tant dans les chansons (les titres de Beyoncé par exemple, sont plutôt bien choisis), mais dans les compos de Danny Elfman qui sont hallucinantes de classicisme et d’ennui, c’est fou …

Merci de nous avoir faire partager ton expérience vécue en salles ! 😉
À bientôt sur Go with the Blog !

Hello moi je n ai pas lu le livre et je suis encore indécise pour aller ou non voir ce film. Je n ai pas trouvé d engouement particulier et je n irai certainement pas juste pour dire « tiens j ai vu 50 nuances « 

Salut prettylittletruth,

C’est certain que si déjà le roman ne t’a pas emballée, il y a probablement peu de chances que tu le sois davantage par le film qui, si on en croit les nbreux commentaires intéressants qu’on a ici, est en deçà du livre.
À bientôt sur Go with the Blog ! 😉

voila étant indécise , j ai la chance d avoir une réservation pour 2 ce samedi 21/02 pour voir le film donc je vais m y rendre bien sur , je reviendrai pour donner mon ressenti .

voila, le film vu hier soir , je reste sur une impression d inachevée on sent bien que ce film aura une suite !! je trouve que c est un mélange de DIRTY DANCING PRETTY WOMAN à la sauce X , tout se resume à son contrat ça aurait pu etre le titre d ailleurs, lui j ai essayé de capter son plaisir j avoue que je cherche encore, elle naive et un peu cul cul , pour une premiere expérience au secours , je le trouve vide ce film difficile à expliquer et ce n est pas les passages dans la salle de jeux qui relèvent le niveau. La note marrante , c est mon mari qui en sortant me regarde et je cite  » dis moi ,elle est ou ma cravate de notre mariage ?

Bonjour christelle,

Merci beaucoup pour ton avis sur le film !
On est à peu près d’accord, à ce que je vois.
Et la remarque de ton mari est particulièrement drôle !! 😉

À très bientôt sur Go with the Blog.

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